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 La main senestre - Livre 3 : Margot

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Corynn
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Corynn


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MessageSujet: La main senestre - Livre 3 : Margot   La main senestre - Livre 3  : Margot EmptyMer 17 Avr 2019 - 10:33

« La main senestre » chapitre 44
Livre 3 - Margot - Chapitre 6

Avril 1497 – Paris, Isle-de-France, domaine royal

Lionardo se fraie un chemin dans les sombres ruelles de Paris, passe devant l’église Sainct-Jacques-de-la-Boucherie, poursuit sa route sans détourner les yeux de son chemin, attentif à ne pas bousculer les nombreux passants qui peuplent déjà les venelles en cette matinée festive. Malgré la relative fraîcheur de la nuit qui se délite, la puanteur règne en maîtresse. Il peste contre la saleté qui encombre le sol, heureux d’être sur une monture qui lui évite de s’aventurer dans le caniveau central, crasseux et nauséabond. Il passe la Seine sans même s’en rendre compte autrement qu’en versant le droit de passage à l’entrée du pont Nostre-Dame. Délesté d’un denier tournoi, il avance au lent pas de son cheval entre les maisons alignées sur le pont, tellement accrochées les unes aux autres qu’il ne peut espérer entrevoir le fleuve.
Il pénètre sur l’île de la cité, continue droit devant lui puis contourne la Madeleine à main senestre et s’engage dans la grand-rue Neuve-Nostre-Dame. À son extrémité, l’aperçu d’éclats de couleurs merveilleuses fait tressaillir son cœur de joie. Le grand jour est levé à présent.
Arriver sur le court parvis de l’église cathédrale de Paris, lui fait oublier tout ce dégoût qui lui est monté aux lèvres jusqu’alors. Il ne peut s’empêcher de s’y arrêter et de lever haut la tête vers les deux immenses tours construites en carrés longs de part et d’autre d’une gigantesque rosace rappelant l’hostie parfaite, le corps du Christ. Trois portails harmonieux lui font face, ouvrant toutes grandes leurs doubles portes solennelles.
Partout, la puissance de Dieu se montre sans retenue à ses yeux émerveillés. Le pourpre et l’azur habillent les saints et les rois de pierre de la façade, leur donnant vie et pouvoir. Le vert, posé sur les monstres et les démons du Jugement Dernier raconté en bas-relief, dénonce leur malignité et leur accointance avec le diable. Les cieux bleus sont constellés d’étoiles lumineuses tandis que les voussures et nervures des colonnes sont dorées à la feuille. L’or et l’argent sont omniprésents, rappelant à tous, la luminescence merveilleuse du divin. Nulle part la pierre n’apparaît nue. De précieuses couleurs l’habillent, la faisant resplendir dans le printemps parisien. S’il n’était l’échelle patibulaire et sa sinistre poutre aux pendus installées devant le grand portail de l’église, Lionardo se serait cru au Paradis. Assis en souverain absolu régnant sur la Jérusalem céleste, le Christ l’accueille, cœur et mains en offrande.
Descendant de sa Napolitaine, le Florentin la mène à sa suite dans l’église cathédrale. Il y règne un joyeux brouhaha, mélange de fête, d’affairisme et de piété, dans une forte odeur de transpiration humaine, d’urine, d’écurie et d’étable. De l’autre côté du jubé, les voix religieuses percent parfois le vulgaire bruit ambiant. Dans le chant sacré des chantres et des chanoines, Lionardo reconnaît une magnifique interprétation du célèbre ‘Alleluia Posui adjutorium’ de feu l’immense magister Perotinus Magnus. Il regrette que le silence se ne fasse pas autour de lui afin qu’il puisse apprécier plus encore la merveilleuse œuvre vocale, mais il sait que ce serait peine perdue de le demander. L’église cathédrale est maison du labour, et à ce titre, le peuple l’habite, y vit, commerce, s’y réfugie, prie, parle, rit, crie comme bon lui semble.
Avisant un gamin blond assis sur une botte de paille, il s’en approche et lui adresse la parole.
— Je te souhaite la bonne année, petit, commence-t-il.
— Bonne année de mesme, Messire, dit le gosse vaguement méfiant de cet étranger qui s’adresse ainsi à lui.
Lionardo lui sourit pour le rassurer et lui demande.
— Quel aage as-tu doncques ? Le sçais-tu ?
— Cy faict ! J’ai huit ans, indique le môme.
— Lors, tu es bien assez grand pour ce que je vais te demander. Si tu prends soin de ma monture, je te donnerai trois deniers tournois, lui promet-il. Je reviendrai au soir, aux alentours de Vespres.
Les yeux du petit Parisien brillent de joie.
— Trois deniers pour moi ? Est-ce bien vrai, Messire ?
De sa petite main fine, il saisit les rênes de la jument tendues vers lui.
— Trois pièces pour ta journée de surveillance, et aussi par ce que cet hui est grand jour de feste. Desselle mon cheval, donne-lui de l’eau et à manger. Tu trouveras un petit sac d’avoine en arrière du troussequin. Ensuite, je souhaite que tu le bouchonnes. Prends cette obole pour te procurer du fourrage de qualité, et une autre pour t’acheter un quignon de pain parsemé de graines de sésame. Tu garderas mieux ma beste si ton estomac est plein. Je vois là, près de ce gros pilier de la nef du Septentrion, une brave femme qui en propose de bien appétissants.
— C’est la mère Béatrix ; elle vend tous les matins dans l’église cathédrale.
— Bien, vois avec elle, mais sans jamais quitter ma Napolitaine. Je ne voudrais pas qu’on me la vole. Quel est ton nom, petit ?
— Je m’appelle Amédée, du nom du sainct lausannois qui est mon protecteur céleste.
— Tu viens de Lausanne ?
— Mon père est un marchand de fromages né au pays de Vaud, dans le duché de Savoie. Il rencontra ma mère icy, et il ne quitta plus jamais Paris. Je suis né dans la cyté !
— À lors, Amédée le Parisien, si un homme d’arme veut sçavoir à qui appartient la monture, apprends que j’ai pour nom sieur Lionardo di ser Piero, de Vinci. T’en souviendras-tu ?
— Vous estes le sieur Lionardo di ser Piero de Vinci, répète l’enfant avant de demander, est-ce en Italie, mon Sieur ?
— Oui, en république toscane, loin au midi du pays de Vaud. Elle, c’est Cavalletta, dit-il en caressant le chanfrein de sa bête avant de déposer un léger baiser entre les naseaux frissonnants.
Il se saisit de la double sacoche posée en travers de la selle et la pose sur son épaule, avant de se retourner vers le garçonnet.
— Je vais te laisser, ce maintenant. Ne me déçois pas ! Si je suis satisfait de ton service, j’ajouterai une piécette aux trois deniers.
— Oh Messire ! Suur que vous serez content ! dit le gamin sérieusement. Je garderai vostre jument comme un trésor. Je vous l’étrillerai aussi ! Vous verrez, son poil brillera comme un écu lors vostre retour, et j’y aurai aussi curé les sabots. Sur la statue de Saincte Anne qui nous faict face, je jure que vous serez satisfait !
— Lors, à ce tantost, petit, sourit le peintre avant de s’éloigner.
Il est rassuré. Le gosse est crasseux, malingre, mais son clair regard s’annonce franc. Le Toscan sait qu’il peut lui faire confiance. Il traverse l’église de part en part, parcourt la nef, contourne un cochon tenu en laisse par une fillette, deux marchands en grande conversation, une dizaine de repentants à genoux devant une statue de Saint Estienne, et autant devant celle de la Sainte Vierge. Il refuse les services de deux hirondelles des églises assises sur les marches de l’autel d’une chapelle latérale. Elles l’apostrophent bruyamment en lui proposant leurs tétons dénudés. Un homme tend la main, demandant l’aumône ; il s’agit d’un pauvre gueux, ancien commerçant ruiné qui a trouvé asile dans le lieu saint, condamné à ne jamais le quitter sans risquer d’être arrêté et pendu. L’artiste trouve enfin la personne qu’il cherche, le nez levé au-dessus de la statue d’Adam, dans l’angle placé au Midi et à l’Orient du jubé.
— Mestre Gontran, dit-il en lui ouvrant ses bras. Heureuse année à vous ! Quel plaisir de vous revoir enfin !
— Mestre Lionardo ! se réjouit le Parisien. Je vous souhaite la bonne année à vous aussi ! Vous voilà juste à temps pour entendre la voix de nostre grosse Jacqueline. Foi de carillonneur, elle est ma fierté, vous sçavez ! Nous allons bientost la mettre en branle car cet hui est ‘Jour de l’An’ ! Nous prendrons le temps de discuter ensuite. Où doncques logez-vous ?
— À dire vrai, je n’ai guère confiance dans les auberges de la ville ; aussi, pour la nuit pensai-je aviser un bon tas de paille icy mesme, dans l’église cathédrale, et m’y assoupir quelque peu.
— Mon ami, Dieu est le meilleur gardien qui soit pour la sauvegarde de nos aames, mais dans Sa maison, nos corps sont livrés sans mercy à vils marauds, surtout en ce temps de feste où la bière rend l’honneste homme moins vigilant ! On trépasse autant dans l’église que dans les auberges mal famées, soyez-en certain ! Pas plus tard que la nuit dernière, un marchand de passage s’est faict percer la panse icy, devant l’autel, pour se faire délester d’une bourse bien trop rondelette. Nenni, vous ne prendrez point ce risque ! Vous dormirez en mon logis ; c’est dit ! Je suis heureux de vous offrir le couvert, et puis, je vous présenterai ma bourgeoise et mes marmots. C’est que j’en ai six maintenant ; ma femme me fabrique le septième qui naistra d’icy trois mois, ajoute-t-il fanfaron. Dieu m’honore grandement. Sur les six, j’ai quatre fils bien robustes et deux pisseuses !
— Félicytations à vous, mestre Gontran ! Dieu sçait récompenser ses fidèles et loyaulx serviteurs. Vostre généreuse offre de logement vous honore, mon ami. Je vous en sçais grandement gré, apprécie l’artiste, et serai heureux de partager le pain avec vostre famille.
— Vous resterez chez moi le temps nécessaire aux raisons de vostre venue dans nostre bonne cyté. Nul doute que vostre génie se trouvera plus encore nourri après quelques jours passés dans la Mater artium qu’est nostre belle Paris !
— Malheureusement, je ne pourrai guère rester plus d’une nuit. Mon travail me rappelle déjà en Italie. Le père prieur de l’abbaye Nostre-Dame de Bonport, me laissa consulter de précyeux documents nécessaires à la poursuite de mon œuvre. Je suis doncques d’ors sur la route du retour. Ce pendant, je ne me voyais point repartir en Toscane sans vous avoir salué auparavant, lors que j’estois si près de vous, mon ami. Je suis également fort désireux d’entendre la voix de vostre Jacqueline qui ne danse pas bien souvent, à ce que je sçais.
— Elle ne branle que pour les grandes occasions ! Imaginez un peu, il me faut huit hommes pour tirer sur la corde et l’activer !
— Certes ! Je vous entends ! Je suis curieux, évidemment, de comprendre comment elle fut montée au beffroi. Après avoir admiré le système de levage de vostre bourdon, et passer la nuit en vostre demeure, je repartirai au petit matin. Je ferai une halte au chastelet du Cloux, en Touraine. La royne de France, sachant ma venue dans son royaume, m’y a faict mander pour un entretien.
— Aussi, je ne vous retiendrai guère. Priorité à nostre bonne souveraine et à vostre travail. Mais avançons doncques vers la tour du Midi.
— Expliquez-moi combien pèse vostre bourdon et la technique utilisée pour l’élever.
— Par la division des charges, mon ami. Nostre grosse cloche, la Jacqueline, ne pèse pas moins que vingt-six mille cent cinquante livres parisiennes.
Lionardo ne peut s’empêcher de siffler entre ses dents.
— Beau bébé ! apprécie-t-il.
— Certes oui, approuve le carillonneur. Mon prédécesseur fabriqua d’abord un solide chariot avec des roues en granit cerclées d’acyer. Cela lui permit d’amener le bourdon en douceur jusqu’à la verticale parfaite de son emplacement, en dessous des deux oculi. Il fut solidement arrimé aux cordages des palans. Une équipe de campanistes fut ensuite envoyée dans les membrures du beffroi, à l’emplacement de chaque oculus à fin d’ajuster la montée. Le palan fit le reste.
— Un simple palan pour la démultiplication des efforts, sourit le Toscan. Archimède estoit décydément un grand inventeur !
— Oui da ! accorde son ami. Il fallut, bien suur, faire réaliser deux moufles spécyales, pour un grand nombre de brins, de façon que chaque homme tirant le garant ne dépasse pas les cent cinquante livres à soulever.
— Ce qui faict cent soixante-quatre brins, calcule rapidement le Florentin. C’est énorme !
— Assurément, approuve son ami. Il m’a été rapporté que dix journées pleines furent nécessaires aux campanistes pour monter la cloche en douceur, avant de pouvoir l’accrocher à son joug.
— Dix jours !... En vous écoutant, il me vient l’idée d’un treuil… Je dois y réfléchir.
— Dites m’en plus, demande de carillonneur en s’essoufflant quelque peu dans l’escalier.
— Ma foi, je pense que si on alliait des engrenages à une vis sans fin montée sur un axe, on devrait pouvoir démultiplier les forces en mouvements… Dès que j’aurai un moment de libre, je vous promets d’y réfléchir et de vous faire parvenir le résultat de mes recherches, Gontran.
— Oh, vous avez le temps, mon ami. La Jacqueline n’est en place que depuis six décennies et demie à peine ; elle a encore de longues années devant elle !
— Dieu vous entende, murmure le peintre.
— Là, nous y voilà.
— Elle est immense ! apprécie le Toscan.
— Son périmètre est de près de deux toises. Son battant faict mille livres parisiennes, peu ou prou.
— Qu’elle est belle ! s’extasie Lionardo.
— Sçavez-vous qu’elle est le résultat d’une histoire d’amour ?
— Je l’ignorois totalement.
— Messire Jehan de Montagu, Grand Maistre de France et surintendant général de la Maison du roy Charles le Cinquième, se trouva fort enamouré de son épousée, dame Jacqueline. Comme il estoit fort riche, il offrit ce bourdon à l’église cathédrale de Paris, à fin que Sainct Estienne et Nostre-Dame bénissent sa femme pendant sa vie et dans l’au-delà, en attendant le Jugement Dernier.
— Ce qui explique le nom de cette grosse cloche. Le cadeau fut pour le moins original, en plus d’estre protecteur. Mais dites-moi, qu’est-ce cela ?
— La signature du maistre fondeur : Guillaume Sifflet. Icy, vous avez le palan qui vous intéresse ; il ne fut jamais descendu. Nous reviendrons ce tantost, à fin que vous puissiez en prendre les mesures exactes. Mais pour le moment, il nous faut regagner la nef. Mes huit grands sonneurs vont avoir l’honneur de mettre le bourdon en branle et de le faire chanter. Rester nous rendrait assurément sourds.
— Je le crois aisément, acquiesce le peintre.
Peu de temps après, la Jacqueline lance sa voix dans la ville. Sa note est joyeuse. Elle souhaite la mi-temps du premier jour d’une nouvelle année, appelant la population à se réjouir avec elle. Sa note claire monte vers le cyel.
Tout l’après-midi, bien calé dans le beffroi du Midi, Lionardo prend des notes, réalise des croquis, esquisse des idées. Près de lui, la Jacqueline se repose de la danse musicale qui l’a tant régalé. À ses pieds, la ville en liesse laisse éclater sa joie de fêter l’an neuf. À travers les venelles serrées, il ne peut apercevoir les Parisiens qui chantent et dansent dans les rues en s’offrant de menus cadeaux, mais les toits de chaumes et d’ardoises enchantent ses yeux. Les cheminées laissent échapper d’évanescentes écharpes d’un beau gris perlé qui monte aux cieux. Çà et là, le clocher d’une église pointe son doigt vers le Dieu céleste.
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MessageSujet: Re: La main senestre - Livre 3 : Margot   La main senestre - Livre 3  : Margot EmptyVen 19 Avr 2019 - 21:54

C'est vraiment très bien écrit, Corynn, un peu ardu pour une profane comme moi, mais très bien écrit, et plein de précieux détails...Comment as-tu pu tenir 600 pages de cette qualité ???
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MessageSujet: Re: La main senestre - Livre 3 : Margot   La main senestre - Livre 3  : Margot EmptySam 20 Avr 2019 - 7:04

900 pages, Camillette ! 900 !!! Laughing Laughing Laughing

Je ne sais pas, c'est peut-être ce qu'on appelle "la passion". Allier chez moi la passion de l'histoire et celle de la plume, voilà ce qu'on obtient.

Merci beaucoup de m'avoir lue. Tu n'imagines pas le plaisir que tu m'as fait là ! I love you
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MessageSujet: Re: La main senestre - Livre 3 : Margot   La main senestre - Livre 3  : Margot EmptySam 20 Avr 2019 - 19:09

Pour être tout à fait honnête, je ne suis pas sûre de tenir sur 900 pages !!!! Laughing Mais à petite dose, ça passe très bien !
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MessageSujet: Re: La main senestre - Livre 3 : Margot   La main senestre - Livre 3  : Margot EmptyLun 22 Avr 2019 - 16:12

Je ne suis effectivement pas certaine du tout que tu aimes lire mon roman. En fait, il y a les 2/3 des chapitres que tu aimerais, mais un tiers qui ne te plairaient pas, j'en suis sûre !
Ce chapitre sur Notre-Dame de Paris fait partie de ceux qui te plaisent. Wink
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MessageSujet: Re: La main senestre - Livre 3 : Margot   La main senestre - Livre 3  : Margot EmptyMer 24 Avr 2019 - 21:38

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